«  Pour  la  première  fois,  le  Parlement  européen  aura  la  possibilité  de  désigner  le  président  de  la  Commis-­‐ sion  européenne  »,  se  réjouit  Catherine  Trautmann,  qui  a  présidé  la  délégation  socialiste  française,  lors   de  la  précédente  mandature.  Numéro  2  de  la  liste  conduite  par l'ex­‐syndicaliste  lorrain  Édouard  Martin,   elle   défend   la   candidature   du   SPD   Martin   Schulz,   président   sortant   du   Parlement   européen,   à   la   prési-­‐ dence  de  la  Commission.  «  Nous  aurions  la  possibilité  de  changer  de  politique  et  de  réorienter l'europe  »,   affirme l'ancienne  maire  de  Strasbourg, l'objectif  étant  de  «  mener  une  vraie  politique  en  faveur de ­ l'emploi  et  une  politique  de  relance  économique, contre l'austérité  ».  

La  Maison  de  Robert  Schuman,  à  Scy-­‐Chazelles,  a  reçu  dans  le  cadre  de   la  journée  de  l'Europe  le  Premier-­‐ministre  luxembourgeois  Xavier  Bettel   et   le   président   du   Conseil   économique   et   social   européen   Henri   Malosse.  

Une   réunion   des   écologistes   sur   le   traité   de   libre-­‐échange   TAFTA.-­‐C'est   l'un   des   enjeux   à   venir   pour   la   politique  européenne  :  le  traité  de  libre-­‐échange  TAFTA  fera  l'objet  d'une  réunion  d'information  organisée   par  Europe  écologie  Les Verts autour de la tête de liste pour l'Est Sandrine Bélier.

Têtes   de   liste   pour   la   région   Grand   Est   de   la   liste   UDI-­‐Modem   réunissant   les   formations   de   Jean-­‐Louis   Borloo  et  François  Bayrou,  Nathalie  Griesbeck  et  Quentin  Dickinson  étaient  à  Troyes  vendredi  matin  pour   une   rencontre   avec   les   professionnels   du   bâtiment   et   des   travaux   publics. 

Nathalie  Griesbeck  et  Quentin  Dickinson,  les  têtes  de  la  liste  l'Alternative  (UDI-­‐MoDem),  baptisée  Les   Européens,  sont  de  nouveau  passés  par  la  Marne  samedi  17  mai,  un  mois  après  une  première  visite.  

«   Nous   sommes   passés   dans   les   18   départements   de   la   circonscription   électorale   Est   au   cours   de   cette   campagne,  a  expliqué  l'eurodéputée  Nathalie  Griesbeck,  et  nous  avons  décidé  de  refaire  une  tournée  des   18  dans  cette  dernière  ligne  droite,  même  si  la  campagne  est  courte.  » 

Plusieurs  candidats  et  députés  sortants  se  sont  retrouvés  récemment  pour  débattre  autour  de  leur  vision   de  l'Europe  de  demain.   Récemment,  plusieurs  députés  européens,  sortants  et  candidats  (*),  ont  évoqué  leur  vision  de  l'Europe   dans  un  débat  organisé  par  le  groupe  Centre-­‐France.  

Cette  fois,  il  se  lance  dans  l'arène.  Loïc  Cavagnac,  président  départemental  de  l'Union  des  démocrates  et   indépendants  (UDI)  fondée  par  Jean-­‐Louis  Borloo,  est  candidat  aux  élections  européennes.  Une  première   pour  lui,  qui  avait  envisagé  de  conduire  une  liste  aux  municipales  à  Vesoul  mais  avait  finalement  choisi  de   passer  son  tour.  «  J'ai  estimé  que  ce  n'était  pas  le  moment  de  diviser  la  droite  républicaine  »,  explique-­‐t-­‐ il. 

Bulle saisie au vol par le président Hollande lors de sa visite à Strasbourg, le « campus européen » refait surface via une question posée par le député PS Armand Jung à Benoît Hamon. En réponse, le ministre dit vouloir « inscrire les universités de Fribourg et de Strasbourg dans l'espace de la région métropolitaine tri- nationale (...) en faisant de la recherche un moteur stratégique de développement » !

Le président du Parlement européen, Martin Schulz, candidat socialiste à la présidence de la Commission européenne, a décidé de renoncer à ses indemnités quotidiennes, soit 304 € par jour (qu’il soit en va- cances ou au travail), le temps de la campagne des élections européennes. Par ailleurs, il n’utilisera plus ses deux voitures de fonction avec chauffeur.

Une Europe qui a mauvaise presse ? La CGPME Saône et Loire présidée par Gilles Penet n'entend pas se contenter de ressentis pour faire avancer le monde entrepreneurial. C'est tout naturellement que la tête de liste du Grand Est pour le MoDem-UDI, Nathalie Griesbeck s'est prêtée au jeu du questions-réponses avec quelques adhérents.

Neuf députés, élus dans la circonscription Grand Est, dont fait partie la Bourgogne, ont siégé à Strasbourg et Bruxelles entre 2009 et 2014. Bilan chiffré de l'activité des parlementaires européens, à partir de Votewatch.

METZ-PONTIFFROY.Une vingtaine d'enfants de la maternelle (grande section) deSaint-Maximinet de l'élé- mentaire (CE2) Gaston-Hoffmannont travaillé sur les contes de Grimm, en allemand, à la médiathèque du Pontiffroy, en présence de la députée Nathalie Griesbeck et du journaliste Quentin Dickinson.

Tête de liste Nathalie Griesbeck, 57 ans, native de Metz, élue eurodéputée en 2004 sous l’étiquette UDF puis en 2009 sous l’étiquette Modem. saône-et-loiriens Le Chalonnais Jacques Morin, conseiller municipal de Chalon, est 14e. Le Projet. « Les Européens » (UDI + Modem) est une formation europhile qui souhaite notamment une harmonisation européenne fiscale et sociale sous 5 ans. Ils ne souhaitent pas élargir pour le moment l’Union. Priorité : l’emploi à travers la mise en place d’une nouvelle politique industrielle. Les centristes soutiennent le Belge Guy Verhofstadt à la présidence de la commission.

Nathalie Griesbeck, tête de liste UDI MoDem Les Européens, sera ce mecredi à boulot (salle des associations en face de la mairie). A l'occasion d'une visite du Parlement européen, Claude Chevalier, la maire de ce village, avait invité l'euroodéputée, qu'elle ne connaissait pas, à venir expliquer l'Europe à ses administrés.Mme Giresbeck l'a prise au mot. Sur sa liste figure la Haut-Saône Loïc Cavagnac. Réunion ouverte à tous.

La liste "Les Européens" de la circonscription Grand-Est, issue de l'alliance entre l'UDI et le MoDem, emmenée par Nathalie Griesbeck, a lancé sa campagne en vue du scrutin du dimanche 25 mai. 

Tentative  de  parité  à  quatre  

Nancy. Cela  avait  pourtant  commencé  avec  «  L'Ode  à  la  Joie  »,  l'hymne  européen  chanté  par  les  cho-­‐ ristes   de   Science-­‐Po.   Drapeaux   bleus   aux   étoiles   jaunes,   le   slogan   («   Le   25   mai,   je   vote   aux   Euro-­‐ péennes  »)  sur  l'écran  au  fond,  le  décor  était  planté  pour  un  débat  organisé  hier  par  le  bureau  d'infor-­‐ mation   du   Parlement   européen.   Le   lieu   bien   choisi,   Sciences-­‐Po   à   Nancy,   ce   campus   européen   et   franco­‐allemand,  comme  un  symbole; avec l'avantage  d'une  salle  logiquement  remplie  d'étudiants. 

Le quatrième volet des “entrevues citoyennes” de la Jeune chambre économique a permis la rencontre avec Nathalie Griesbeck, tête de liste UDI-Modem aux élections européennes. 

Député européenne sortante, Nathalie Griesbeck se présente aujourd'hui en tête de la liste UDI - Modem Les Européens, soutenue par François Bayrou et Jean-Louis Borloo.

INTERVIEW DE NATHALIE POUR PAROLES D'ACTU EST

 Nathalie Griesbeck a répondu aux questions de Paroles d'ACTU sur son parcours, son bilan de mandat au Parlement Européen entre 2009 et 2014, les défis majeurs de l'Union Européenne dans les années à venir. A lire dans cet article.

LORS DES PRÉCÉDENTES ÉLECTIONS européennes, en 2009, le Modem avait recueilli 8,46 % des suffrages au niveau national et 9,44 % dans la circonscription Est. Cette fois l’alliance UDI-Mouvement démocrate, baptisée « l’Alternative », espère faire plus.

Le Parlement européen s’est ouvert comme chaque année au public pour une journée portes ouvertes dimanche à Strasbourg, à trois semaines des élections européennes du 25 mai. Près de 18 000 personnes ont répondu à l'invitation.

Nathalie Griesbeck mène la liste Les Européens (UDI/Modem) dans le Grand Est. Elle a échangé hier à Chalon avec les entrepreneurs de la CGPME-71.

Lors des élections municipales, on a vu les centristes main dans la main avec l’UMP. Pourquoi vous présenter sous votre seule bannière lors de ces Européennes ?

Pascal Lan­dréat, lea­der Modem de l'Aube, et son ho­mo­logue de l'UDI, Marc Se­bey­ran, étaient réunis, sa­medi, pour ac­cueillir leur re­pré­sen­tant com­mun pour les élec­tions eu­ro­péennes le 25 mai pro­chain : Quen­tin Di­ckin­son. Le mon­sieur Eu­rope de Radio France de­puis plus de 25 ans, a dé­laissé le micro de­puis le 6 mars pour se lan­cer pour la pre­mière fois dans une cam­pagne po­li­tique. « Quand la mai­son com­mune brûle, on n'hé­site pas : on prend l'ex­tinc­teur », ré­pond-il à la ques­tion du « Pour­quoi cet en­ga­ge­ment nou­veau ? ».

A l'heure où les extrêmes s'abreuvent à la source de rejets en tous genre et où les deux partis hippopotames que sont l' UMP et le PS pataugent dans leurs nuances et contradictions, « les Européens », c'est-à-dire en l'occurrence l'union UDI-Modem s'en- gage avec détermination dans la campagne des Européennes. Pour ces élections qui auront lieu sur un seul jour et un seul tour le 25 mai Nathalie Griesbeck, députée européenne sortante, tête de liste et Quentin Dickinson ont lancé la mobilisation sur le grand est. Patrick Weiten, président UDI du conseil général de la Moselle est venu leur apporter son appui.

Députée centriste et candidate au scrutin européen du 25 mai, Nathalie Griesbeck et son colistier Quentin Dickinson étaient sur le terrain, hier à Montceau.