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Robert Rochefort aux côtés de Geneviève Darrieussecq à Mont de MasranSud-Ouest
Robert Rochefort, Député Européen et tête de liste dans le Sud Ouest et Muriel Boulmier, adjointe au maire d'Agen et numéro 2 de la liste, se sont rendus mercredi 23 avril dans les Landes pour recevoir le soutien de Genviève Darrieussecq, maire de Mont-de-Marsan, et présenter notre candidate Chantal Davidson.
23 avril 2014|00:40
Robert Rochefort, Député Européen et tête de liste dans le Sud Ouest, dans le cadre de ses rencontres avec les élus locaux s'est rendu mercredi 23 avril dans les Landes pour recevoir le soutien de Genviève Darrieussecq et présenter notre candidate Chantal Davidson.
Après une rencontre avec Geneviève Darrieussecq, maire de Mont-de-Marsan et les élus des Landes qui soutiennent notre liste, Robert Rochefort a insisté sur l'enjeu de cette élection pour la France et pour l'Europe:
«La question n'est pas de savoir si la France est la troisième ou quatrième puissance mondiale. La question est de savoir si l'Europe est la première puissance mondiale. » Pour le député européen sortant Robert Rochefort, c'est une évidence : l'avenir de la France se jouera en Europe.
Il a également tenu à affirmer les convictions portées par les candiats Udi-Modem, clairement pro-européennes, mais lucides sur le fonctionnement actuel de l'Union européenne « Nous ne sommes pas les attachés de presse de Barroso (président de la Commission européenne, NDLR), ni des béni-oui-oui de la construction européenne telle qu'elle se fait. Nous voulons une Europe différente. »
Il a ensuite présenté à la presse la candidate des Landes, Chantal Davidson, maire adjointe de Mont-de-Marsan à la culture.
Quand Hollande invente le service minimum sur l'EuropeNational
Après des mois de silence sur les enjeux européens du prochain scrutin, le chef de l'Etat a enfin pris position. Mais trop tard pour apparaître sincère.
9 mai 2014|13:26
SIMPLE effet de communication ou réelle prise de conscience ? Quasiment pour la première fois de son quinquennat, dont il vient de fêter le deuxième anniversaire, François Hollande semble s'être souvenu du mot "Europe".
Hier, coup sur coup, au JT de 13 heures de France 2 puis dans une tribune au journal Le Monde, le président de la République a expliqué que "sortir de l'Europe, c'est sortir de l'Histoire". A deux semaines du scrutin essentiel des élections européennes du 25 mai, on serait tenté de lui dire "enfin !". Voire de le féliciter. Le problème, c'est que derrière cette longue tribune, on ne peut s'empêcher d'y déceler, entre deux formules, que de simples voeux pieux. Un peu façon discours du Bourget de 2012!
Le journal Les Echos de ce matin ne s'y trompe pas. "Europe : Hollande invente l'allant sans aile", titre le quotidien économique, non sans rappeler en substance les tiraillements au sein du PS entre eurocritiques assumés et eurosceptiques moins assumés. Le résultat de tout cela est que le président ne convainc pas. Sa passion soudaine pour l'Europe manque de sincérité.
De tripes. Ce n'est pas d'une synthèse molle, comme il en fit longtemps au PS, que les citoyens français ont besoin pour l'Europe. Mais de convictions, de passion. L'Europe est un idéal qui dépasse les petits équilibres de partis.
En ce symbolique jour du 9 mai - en référence à la déclaration du 9 mai 1950 de Robert Schuman sur la future Communauté économique du charbon et de l'acier (Ceca) - que les Centristes voudraient transformer en journée entièrement consacrée à l'Europe dans les écoles, pour renforcer ainsi le sentiment d'appartenance de nos enfants, les candidats UDI-MODEM Les Européens appellent les citoyens à faire entendre leur attachement pour l'Union européenne et ses valeurs.
Et pour cela à choisir des élus réellement sincères. Face à l'émergence de nouveaux empires continentaux et à la mondialisation, les voeux pieux ne suffisent pas.
Ne nous y trompons pas. Le 25 mai, le choix se sera entre ces trois propositions : engager une sortie de l'Europe avec les populistes ; choisir l'immobilisme avec le PS ou l'UMP ; ou avancer avec les Centristes pour plus d'harmonisation fiscale et sociale tout en respectant les identités de chacun. Mais de synthèse artificielle, il ne sera pas question.